Le comité de parrainage du PLIE des Graves au service de l’insertion professionnelle
Le comité de parrains du PLIE des Graves à Bègles regroupe des chefs d’entreprise et des responsables des ressources humaines. Ces professionnels du territoire reçoivent de manière ponctuelle des participants du PLIE pour un entretien conseil, une préparation d’entretien ou un stage.
Ces rencontres permettent aux participants du PLIE d’avoir des informations sur un secteur d’activité, d’échanger sur leur stratégie de recherche d’emploi, de travailler leur présentation en entretien, ou encore, d’étoffer leur réseau professionnel.
Sandrine Castets, responsable des ressources humaines de l’entreprise Corep, entreprise leader en France de la fabrication d’abat-jours et de lampes décoratives, est membre de ce comité de parrainage : « Ce qui m’a poussée à l’intégrer réside dans toute l’aide que je peux apporter aux personnes en recherche d’emploi ou de formation. Par ce biais, je peux apporter mon réseau, délivrer des conseils sur le CV ou la lettre de motivation et permettre aux personnes de prendre du recul sur leur projet professionnel dans sa globalité ».
Ces prises de contact permettent également de tisser du lien et consolider un réseau professionnel, aussi bien pour l’entreprise que pour le participant : « Consacrer du temps à ces personnes et à l’association A.DE.L.E, permet d’échanger, de rencontrer et de découvrir des profils intéressants. Lorsque notre société éprouve un besoin de recrutement, je m’appuie sur le vivier de personnes que j’ai déjà rencontrées » explique Sandrine Castets.
Aujourd’hui, la société Corep a déjà accueilli plusieurs participants en stage et n’hésitent pas à recontacter des personnes déjà passées par la société.
« Lorsque nous employons des personnes en stage, il n’est pas rare de les recontacter lorsque nous avons des postes plus long à pourvoir. Le réseau et la dimension locale sont importants. Ce réseautage a pour objectif de combler un besoin aussi bien de la société que du participant en recherche d’emploi ou de formation », conclut Sandrine Castets.