Randstad et Le Petit Basque : retour sur deux « cafés-recrutement » organisés pour deux entreprises en recherche de personnel.
Installée à Saint-Médard d’Eyrans, Le Petit Basque est une entreprise connue pour ses caillés et yaourts au lait de brebis. Entreprise en pleine expansion, ses besoins de main d’œuvre augmentent. Un café-recrutement a ainsi été organisé en décembre 2018 avec l’agence d’intérim, Yes Intérim.
« Trois types de profils étaient recherchés : des opérateurs de production, des agents logistique et des préparateurs de recettes. Il a été proposé des postes en contrats courts et d’autres en contrats pérennes selon les profils rencontrés », explique Véronique Debelleix, chargée de relations-entreprises pour le PLIE des Graves sur la Communauté de Communes de Montesquieu (CCM).
À l’issue du café-recrutement, deux personnes ont été repérées.
Le 1er février dernier, un deuxième café-recrutement a été organisé pour l’agence d’intérim Randstad qui proposaient des postes très variés sur le territoire de la CCM. Ce sont neuf personnes dont six issues du dispositif du PLIE des Graves qui ont été présentées pour des postes de premier niveau de qualification.
« Nous avions rencontré l’agence d’intérim lors de la Bourse à l’emploi en octobre 2018. C’est une grosse agence spécialisée sur des postes issus des secteurs industriels et tertiaires. Infiltrer ces structures du territoire permet de créer un lien de réactivité, afin qu’elles aient le réflexe de nous contacter pour leurs besoins en recrutement », ajoute Véronique Debelleix.
L’objectif de ces cafés-recrutement est de faire savoir aux participants du PLIE des Graves que des postes sont à pourvoir sur le territoire. L’équipe du PLIE des Graves organise en moyenne un café-recrutement par trimestre : « La seule condition pour organiser des mises en relation avec des entreprises en recherche de candidats est la disponibilité et la présence de participants potentiellement intéressés et compétents pour les postes proposés. Nous privilégions la qualité des mises en relation plutôt que la quantité. Si aucun participant ne correspond au profil de candidat recherché, nous n’en positionnons pas », conclut Véronique Debelleix.